Paula González - La Bomba
Je m'appelle La Bomba. Je suis venue à ce Festival. Enfin c'est vraiment à travers OCAD. Je suis une artiste pluridisciplinaire. Je fais du Graffiti,
je suis une joueur de Basse, je suis une MC, je suis une vidéographe, j'ai fait des documentaires sur la Culture Urbaine à
l'Amérique latine. Et je suis aussi un travailleur de la Jeunesse
Fondamentalement comment j'ai été impliquée avec ce Festival c'est par l'Association d'Etudiants Latino-américains qu'était née à
OCAD. Beaucoup d'ans plus tard j'ai étée contactée par les gens qui avaient étés dans l'Association d'Etudiants qui a eu un
collectif qui mettait activement ce Festival. Celle-ci est ma quatrième annee participant en rang maintenant. C'est un Festival
Pluridisciplinaire qui couvre vraiment beaucoup de genres qui beaucoup un gens n'assimileraient pas vraiment avec Amérique latine.
Vous pouvez voir la Musique Pop, Funk, le Hip Hop, le Reggae, vous pouvez voir la Diaspora africaine entière à travers nos
cultures dans les centres urbains représentée par les types de musique que nous faisons. Enfin ceci est tout à fait une forme
pour toute la multiplicité que vous voyez.
Beaucoup de gens disent : « Latinos - Salsa ». Vous savez que nous avons 33 nations différentes seulement à l'Amérique latine.
Chacune a sa propre culture régionale. Ce n'est pas rare de traverser les rues dans ma ville natale est àTalca, au Chili, 4
heures au sud de Santiago et nous traversons le marché et vous entendrez Cumbia, la musique de Flamenco, le Rock, Heavy Metal,
Reggaeton, Salsa, le Tango. À l?Amérique latine, comme Latino-américains, nous sommes grandis avec ce qu'est ici appelé le
Multiculturalisme. Ce Festival démontre nous ne sommes pas la norme, l'image stéréotypée qu'on a des Latinos.
Beaucoup des choses qui viennent à travers les médias viennent vraiment des États Unis. Toronto est un lieu où beaucoup de
personnes sont de nouveaux arrivants, et si non nous sommes la deuxième génération. Ce que nous amenons à ce festival est
très frais, très contemporain.
J'ai commencé à faire la musique à Toronto environs 87-88. Le premier groupe, « Chicken Milk », a été composé de 3 filles jouant
ensemble. Alors autre groupe que j'ai formée qui a été appelé « Smeared », qui était un groupe de Punk, a fait un tour de la
côte atlantique. Cela était une grande introduction dans la scène de musique.
Après j'ai étais dans un autre groupe qui s'appelait « Women and Rantings » pendant 7 années. C'était un groupe toute femelle de
Reggae. Tous les membres de la bande étaient de Jamaïque, sauf celles qui étaient de Nigéria, Guyana et moi de Chili. J'ai
toujours joué le basse.
Plus tard je suis entrée dans un groupe appelé « Papichulos ». C'était le premier groupe de musique urbain complètement latino
dans l'histoire du Canada. Nous avons été dans beaucoup des Festivals Latinos. Cela était plus dans le courant principal de
Culture latine. Avant j'ai fait plus de choses Indépendantes, très bien assistés, mais pas nécessairement dans la communauté
Latino.
J'ai fait beaucoup des voyages. J'ai voyagé à Cuba, à Jamaïque. Plus tard j'ai déménagé avec mon propre groupe, que vous verrez
au Festival, qui est appelé « Amazonica Sound Force». Quand j'ai fait le groupe c'était pour montrer la Diaspora de Latinos,
sortir du stéréotype de que c'est Miami, de que c'est New York, de que c'est Californie, mais ce qu'arrive ici à Toronto, et
aussi ce qu'arrive vraiment à Amérique du Sud. Je suis de l'Amérique du Sud, qui est une largeur de continent de différence
du point de vue culturel des Antilles, ou d'Amérique Centrale, même à Amérique du Sud il y a beaucoup de genres musicaux. Mon
idée était de commencer un groupe et faire la fusion à travers le Hip hop. L'idée c'est de le garder frais, invitant de jeunes
poètes, jeune MCs, les jeunes chanteurs, les jeunes danseurs, le mélangeant avec les plus vieux musiciens qui ont cette tradition,
ces vieux vétérans d'école. Je joue le basse.
L'idée était de créer un groupe, électricité ou pas d'électricité nous ferons toujours la musique pour les gens. L'autre chose que
je veux promouvoir c'est la fusion et comprenant que l'Amérique latine vient en tant de formes comme des couleurs et cela c'est
que nous sommes. Notre expérience a un rapport collectif à une des plus grandes rivières d'Amérique latine qui est le Río
Amazónico, la Rivière d'Amazone qui est un facteur de vie pour beaucoup de nos pays.
Venez au Festival. Nous sommes 25 à 30 gens sur la scène. Ce n'est pas un petit spectacle. C'est un grand spectacle. Vous avez des
danseurs, MCs et tout genre de choses. C'est cela ce qui nous sommes.
En relation à mon travail social je travaille comme un Programmeur de Jeunesse au Centre de Famille Quartier Woolner Syme,
localisé à Keele et Eglington. Beaucoup de Programmes qui sont faits là pour la Jeunesse, nous faisons des programme basés
sur l'art, la production documentaire et tout ce type de choses. Le démographique couverte c'est antillaise et les latinos.
Cela est le travail que j'ai fait pour autour de 15 à 20 ans, voyageant allez et rétour. Et le dernier composant duquel
j'aimerais parler c'est le travail de film documentaire qui l'est vraiment relié à OCAD, parce que je suis allée au Collège,
c?est faire des documentaires sur la Culture de l'Amérique latine.
Ma dernière discipline c'est le Graffiti. Je présenterai un livre à la fin d'octobre 2009 appelé « Les Graffiti de Toronto » qui
couvre tous les écrivains de graffiti jusqu' à 1988. L'Art de Graffiti est venu de la Culture de Résistance au Chili, Artistes
Muraux qui étaient au Chili lors de la dictature militaire. J'ai adopté le style rebelle qui parle pour les gens et j'ai adapté
le style de New York, juste pour mettre un nom. Cela m'a donné une vraie façon de sens dans notre culture. Parce que ce type de
choses vous ne pouvez pas les truquer et vous ne pouvez pas les acheter. Vous devez les vivre et vous devez les faire et il
s'agit de vos compétences.
Quand vous viendrez à ce Festival vous verrez des gens qui montrent le meilleur de leurs compétences. Et ça c'est tout qui c'est.